La majorité des définitions proviennent du glossaire du site "environnement littoral" de l'Ifremer.
La majorité des définitions proviennent du glossaire du site "environnement littoral" de l'Ifremer.
poids en grammes de résidu solide contenu dans un kilogramme d'eau de mer quand tous les carbonates ont été transformés en oxydes, le brome et l'iode remplacés par une quantité équivalente de chlorures, et que toute la matière organique a été complètement oxydée.
éléments (vivants ou non) adhérant à une surface comme celle de la coque d’un navire.
biosalissures = salissures d’origine vivante.
élevage des salmonidés (truites et saumons surtout). Cet élevage peut avoir lieu soit en eau douce, soit en eau de mer.
document administratif comportant, comme élément essentiel, un document graphique figurant la répartition spatiale approximative des dispositions réglementaires édictées.
A la différence du plan, le schéma ne délimite pas rigoureusement les affectations spatiales, mais n’en fournit que les grandes lignes.
Il doit donc être complété par des plans ; mais les décisions qu’il contient s’imposent à ceux qui élaborent les plans.
dépôts solides ayant été transporté par l'eau ; ils peuvent être qualifiés de cohésifs ou non selon qu'ils sont consolidés ou non (sables).
ensemble des processus par lesquels les particules en suspension et en transit cessent de se déplacer et se déposent, devenant ainsi des sédiments.
Les taux de sédimentation sont de 0,5 mm à 1 mm par 1 000 ans dans l’Océan Pacifique, de 10 mm à 25 mm par 1 000 ans dans l’Océan Atlantique, des taux plus importants encore existent au voisinage des continents (20 cm à 30 cm par 1 000 ans dans la Mer Baltique).
L’âge des sédiments ne dépasse pas une quarantaine de milliers d’années.
discipline qui étudie les caractéristiques, les processus de mise en place et la disposition des particules meubles soit pendant leurs déplacements, soit une fois déposées.