Milieu physique

phénomène physique par lequel un brusque lâcher d’eau crée un très fort courant qui nettoie un chenal.

phénomène géophysique suivant lequel les couches inférieures de l’atmosphère retiennent les radiations du sol. Ceci provient de la présence dans l’air de différents gaz qui absorbent les radiations infrarouges = vapeur d’eau, CO2, méthane, ozone, oxydes d’azote, fréon…

rebord abrupt du socle continental où les profondeurs passent de 200 m à plus de 4000 m (soit de la bordure de la plateforme continentale à la plaine abyssale).

partie du littoral alternativement couverte et découverte par la mer (= zone de balancement des marées).

partie terminale d’un fleuve, de forme évasée et où la mer remonte.

C’est une zone de mélange entre eaux douces et eaux marines. Ce mélange induit un gradient très important des propriétés physico-chimiques des eaux, variable dans l’espace et dans le temps.

division horizontale de la zone littorale selon la proportion des durées d’émersion et d’immersion.

On distingue :

• étage suppralittoral : au-dessus du niveau de haute mer de vive eau minimum,
• étage médiolittoral : entre haute mer de morte eau minimum et basse mer de vive eau minimum,
• étage infralittoral : au-dessous du niveau de basse mer de vive eau minimum.

phase du cycle de marée au cours de laquelle le niveau de la mer ayant atteint sa valeur extrême (haute ou basse) reste à peu près stable pendant une courte durée (de l’ordre de 30 minutes).

Échelle d'état de la mer (CODE S)

chenal tracé sur l’estran et parcouru par les courants de marée.

Les étiers sont surtout présents en milieux vaseux notamment dans les marais maritimes.

transformation d’un liquide en gaz sous l’effet de son réchauffement, et plus particulièrement transformation de l’eau en vapeur d’eau.