méthode de résolution ou de mesures qui suit les particules d'eau dans leurs mouvements.
opération suivant laquelle on traite des eaux usées dans une lagune artificielle.
a) étendue d’eau côtière salée ou saumâtre, presque totalement fermée par un cordon de sables et de galets, c’est-à-dire en liaison restreinte avec la mer (par des " passes " ou " graus ") ;
b) bassin peu profond, généralement artificiel, dans lequel on fait séjourner les eaux usées et les eaux vannes pour qu’elles s’y décantent et s’y oxygènent avant traitement dans une station d’épuration. Ils sont le plus souvent fortement aérés par agitation artificielle.
désigne la limite extrême atteinte par la mer en un jour déterminé (i.e. pour une mer à marées) :
désigne l'ensemble des objets flottants (organismes ou débris d'organismes) abandonnés par la mer au niveau de son point le plus haut atteint un jour donné (soit à la laisse de pleine mer).
nom donné à une algue verte ( Ulva lactuca) constituée de thalles très larges et très fins.
Elle est translucide et se déchire facilement.
On la trouve dans les eaux peu profondes de la zone intertidale.
Bien que vivant normalement sur l’avant côte, elle est capable de vivre en pleine eau.
Son développement lié aux apports continentaux excessifs de nutriments dans certaines régions côtières (Bretagne nord) a pour résultat le phénomène de marée verte (= échouage de grandes quantités d’ulves).
c’est une méthode de projection conique d’une sphère sur une surface plane mise au point en 1772 par J.H. Lambert.
Elle constitue encore à l’heure actuelle le système officiel français mis en œuvre par l’I.G.N.
C’est une projection conforme et directe où les parallèles sont représentées par des cercles concentriques et les méridiens par des droites concourantes.
phénomène suivant lequel une onde interne parvenant à la côte provoque une surélévation parfois très forte (jusqu’à 2 m) et assez durable du niveau moyen instantané de la mer.