La majorité des définitions proviennent du glossaire du site "environnement littoral" de l'Ifremer.
La majorité des définitions proviennent du glossaire du site "environnement littoral" de l'Ifremer.
seiche (vague stationnaire) : oscillation de la surface d’un petit plan d’eau, causée le plus souvent par le vent ou par des variations de la pression atmosphérique.
Elles apparaissent habituellement dans des bassins totalement ou partiellement fermés et sont dues à un changement soudain, ou à une série de changements périodiques de la pression atmosphérique ou de la vitesse du vent.
- (général) corps chimique composé, né de la combinaison d’un acide et d’une base, ou de l’action d’un acide sur un métal ou un métalloïde.
- sel marin ou sel de mer : chlorure de sodium et autres sels qui sont présents dans l’eau de mer ou, en alimentation humaine et après extraction, chlorure de sodium et certains seulement des sels associés tolérés par l’organisme humain. Les teneurs en sel dans une eau de mer de 35 °/oo de salinité sont les suivantes (en g/kg) :
- sels nutritifs (= nutriments) : voir nutriments.
- sels minéraux : ensemble de tous les sels présents dans un milieu, qu’ils soient sous forme solide ou sous forme dissoute.
substances dissoutes dans l'eau.
poste de signalisation de la marine nationale établi sur une côte pour communiquer par signaux ou radio avec les navires naviguant en vue.
ensemble des particules d’origine minérale ou organique et de très petits organismes en suspension dans l’eau et dénués d’une mobilité propre suffisante.
Le seston se décompose en tripton, necton, plancton et neuston. Le seston s’oppose au necton, qui comprend tous les organismes marins capables de lutter contre les courants.
Le seston se limite aux particules de dimensions inférieures en gros à une centaine de microns.
Il concerne les particules vivantes telles que les bactéries et le phytoplancton, les détritus de petites tailles, et les particules minérales dont les dimensions sont telles que leur vitesse de sédimentation est très lente.
Par ailleurs, la distinction entre matières en suspension et substances dissoutes est arbitraire, car il y a passage continu des unes aux autres.
En général, on considère comme étant des particules en suspension celles (visibles au microscope) dont les dimensions sont supérieures à 0,1 µm, comme étant des colloïdes les micelles (détectables par ultramicroscopie) de dimensions comprises entre 0,1 et 0,001 µm, et enfin comme étant en solution tout ce dont la taille est inférieure au millième de micron.
En Océanographie, on appelle particules en suspension toutes celles qui sont arrêtées par un filtre dont les pores ont un diamètre minimal en général de l’ordre du micron ou du demi-micron.
appareil composé d’un secteur circulaire (60°) articulé d’une lunette et d’un miroir et qui permet par la mesure de l’angle d’un astre (généralement le soleil) au-dessus de l’horizon, de faire le point.
- qualifie ce qui a trait aux tremblements auxquels le globe est soumis.
- technique de recherche scientifique permettant d’étudier la nature et la structure du sous-sol en étudiant la réflexion d’ondes envoyées dans le sous-sol.
En mer, des canons à air tractés par un navire émettent des ondes qui se propagent dans la croûte et se réfléchissent sur les couches géologiques ; les ondes réfléchies voyagent alors vers la surface où elles sont enregistrées par une longue chaîne d’hydrophones (flûte sismique) remorquée par le navire. On obtient ainsi, après traitement informatique des signaux, une image sismique du sous-sol. La profondeur d’investigation de la méthode est d’autant plus importante que le volume et la pression de l’air dans les canons sont élevés et que la flûte sismique est longue.
époques où le soleil atteint sa plus grande distance angulaire du plan de l’équateur.
Elles correspondent aux jours les plus longs (pour le solstice d’été, 21 ou 22 juin) et aux jours les plus courts (pour les solstices d’hiver, 21 ou 22 décembre).
Désigne aussi le point de l’écliptique qui y correspond.
(voir "minute de sonde").