ensemble des particules d’origine minérale ou organique et de très petits organismes en suspension dans l’eau et dénués d’une mobilité propre suffisante.
Le seston se décompose en tripton, necton, plancton et neuston. Le seston s’oppose au necton, qui comprend tous les organismes marins capables de lutter contre les courants.
Le seston se limite aux particules de dimensions inférieures en gros à une centaine de microns.
Il concerne les particules vivantes telles que les bactéries et le phytoplancton, les détritus de petites tailles, et les particules minérales dont les dimensions sont telles que leur vitesse de sédimentation est très lente.
Par ailleurs, la distinction entre matières en suspension et substances dissoutes est arbitraire, car il y a passage continu des unes aux autres.
En général, on considère comme étant des particules en suspension celles (visibles au microscope) dont les dimensions sont supérieures à 0,1 µm, comme étant des colloïdes les micelles (détectables par ultramicroscopie) de dimensions comprises entre 0,1 et 0,001 µm, et enfin comme étant en solution tout ce dont la taille est inférieure au millième de micron.
En Océanographie, on appelle particules en suspension toutes celles qui sont arrêtées par un filtre dont les pores ont un diamètre minimal en général de l’ordre du micron ou du demi-micron.
- qualifie ce qui a trait aux tremblements auxquels le globe est soumis.
- technique de recherche scientifique permettant d’étudier la nature et la structure du sous-sol en étudiant la réflexion d’ondes envoyées dans le sous-sol.
En mer, des canons à air tractés par un navire émettent des ondes qui se propagent dans la croûte et se réfléchissent sur les couches géologiques ; les ondes réfléchies voyagent alors vers la surface où elles sont enregistrées par une longue chaîne d’hydrophones (flûte sismique) remorquée par le navire. On obtient ainsi, après traitement informatique des signaux, une image sismique du sous-sol. La profondeur d’investigation de la méthode est d’autant plus importante que le volume et la pression de l’air dans les canons sont élevés et que la flûte sismique est longue.
époques où le soleil atteint sa plus grande distance angulaire du plan de l’équateur.
Elles correspondent aux jours les plus longs (pour le solstice d’été, 21 ou 22 juin) et aux jours les plus courts (pour les solstices d’hiver, 21 ou 22 décembre).
Désigne aussi le point de l’écliptique qui y correspond.
qualifie ce qui a trait au volume, à la configuration spatiale.
hauteur d’eau constatée dépassant en un lieu et à une heure donnée ce que l’on y attendait en fonction du coefficient de marée du jour (effet de basses pressions atmosphériques, de forts vents de mer ou la combinaison de ces deux facteurs).
mode de transport de particules solides dans un fluide caractérisé par le fait que la tendance des particules à descendre sous l’effet de la gravité est compensée par l’effet de la turbulence de ce fluide.
Ce mode de transport n’affecte efficacement que les particules ayant un diamètre inférieur à 80 microns.