en Provence, désigne un rentrant de la côte, long et étroit et aux flancs abrupts généralement formés de calcaire dur.
incision profonde dans l’escarpement continental (= abrupt du socle continental) créée et entretenue par le transit des sédiments allant de la plateforme continentale vers la plaine abyssale.
succession de vagues courtes et irrégulières qui ne se forment pas en lames (à la différence de la houle).
coefficient de marée : rapport, en un lieu donné, du marnage au marnage moyen en vive eau d’équinoxe. Ce nombre, exprimé en centièmes, est appliqué aux marées des côtes de France.
Il permet une prédiction approximative des hauteurs de pleines et basses mers.
Sont appelées " marées de vive-eau " celles dont le coefficient est supérieur à 85 et " marées de morte-eau " celles dont le coefficient est inférieur à 55.
La notion de coefficient de marée est peu utilisée en dehors de la France ,
coefficient de diffusion : quantité de solvant passant à travers l’unité de section droite d’un milieu poreux et pendant l’unité de temps sous l’influence d’un gradient de concentration unité,
coefficient de dispersion : coefficient de proportionnalité entre le flux de dispersion d’une solution dans un milieu poreux et le gradient de concentration de cette solution.
force agissant sur un corps en mouvement à la surface d’une sphère en rotation sur elle même (cas du globe terrestre).
Ce corps en mouvement (masse d’air par exemple) est dévié vers sa droite dans l’hémisphère nord et vers sa gauche dans l’hémisphère sud.
altération chimique superficielle d’un corps métallique ou d’une roche, qui dégrade sa surface et y provoque une perte de matière.